photo Roger BLAQUIERE. Fragments d'un rétrospective

Roger BLAQUIERE. Fragments d'un rétrospective

Peinture

Juigné-sur-Sarthe 72300

Du 29/03/2025 au 04/05/2025

Né en 1933, Roger Blaquière entre en 1948 aux Arts Appliqués puis en 1953 aux Beaux-Arts de Paris. 1958 : reçoit le Prix de la Casa Velasquez. En 1963, Grand Prix de Rome de peinture. De 1964 à 1967, Roger Blaquière réside à la Villa Médicis. Participe à des expositions à Rome et à Florence ainsi qu’à des salons à Paris. 1967 : s’installe en Sarthe et enseignera aux beaux-Arts du Mans jusqu'en 1995. Elu en 1986 à l’Académie du Maine. 1993 : 1ère rétrospective à l’abbaye royale de l’Epau au Mans. 1999 : l'œuvre graphique au Musée de la reine Bérengère au Mans. 2009 : exposition à l’Espal. 2013 : sculptures en terre au Musée de la reine Bérengère au Mans. 2023 : exposition Couleurs inattendues au Fond International d’Art Actuel (FIAA) du Mans. « De l’ornement au récit, du chaos à la structure unitaire, l’intuition a conduit Roger Blaquière à l’édification d’une œuvre intense, d’une profondeur métaphysique dissimulée sous un apparent divertissement, unissant le passé et le présent pour un art qui compte parmi les créations artistiques dont nous avons le plus besoin aujourd’hui. » (Lydia Harambourg). L'exposition présente un panorama de sa création, souvent figurative, de 1959[...]

photo Le train à grande vitesse : seulement un train qui roule plus vite ?

Le train à grande vitesse : seulement un train qui roule plus vite ?

Science et technique

Morlaix 29600

Le 07/05/2025

Mercredis de l'Espace des sciences Avec Michel Lebœuf, Président honoraire du Comité Intercités et Grande Vitesse de l’UIC, ancien conseiller pour la Grande Vitesse à la SNCF et ancien responsable de la recherche sur les trains à grande vitesse. La mobilité est un besoin fondamental de l’humanité. Depuis toujours, nous voyageons et cherchons à aller toujours plus vite. Si nous pouvions nous téléporter instantanément, nous réaliserions notre rêve d’ubiquité. Mais cette utopie se heurte à de nombreux obstacles, à commencer par le fait que la vitesse de la lumière est indépassable. Sans aller jusque-là, chaque accélération est perçue comme un progrès, surtout lorsqu’elle ne compromet pas d’autres enjeux, comme la préservation de l’environnement. Le train à grande vitesse participe à ce vertige et suscite un véritable engouement. Mais pourquoi le train peut-il rouler aussi vite ? À partir de quel seuil dit-on qu’un train roule à grande vitesse ? Où en est-on en matière de vitesse commerciale ? Qu’en est-il dans d’autres pays ? Autant de questions auxquelles Michel Lebœuf tentera de répondre. Conférence organisée dans le cadre de l'ouverture de la nouvelle exposition de l'Espace[...]

photo LUMA Arles / Exposition : Archives Hans Ulrich Obrist - Chapitre 5 : Maria Lassnig « Vivre avec l’art empêche de se faner ! »

LUMA Arles / Exposition : Archives Hans Ulrich Obrist - Chapitre 5 : Maria Lassnig « Vivre avec l’art empêche de se faner ! »

Peinture, Exposition

Arles 13200

Du 01/05/2025 au 10/05/2026

Née en 1919 dans le sud rural de l’Autriche, Lassnig mena une carrière de soixante-dix ans dans les domaines de la peinture, du dessin et du film d’animation. S’appuyant sur la relation profonde qui unissait Lassnig et le commissaire Hans Ulrich Obrist, cette présentation souhaite raviver l’attention portée par le public français à l’œuvre novatrice de l’artiste, laquelle a façonné l’histoire de l’art moderne et contemporain par le concept de conscience du corps (Körpergefühl) et son engagement féministe. Sa dernière exposition personnelle en France eut lieu en 1999 à Nantes, au Musée des Beaux-Arts de Nantes et au Fonds Régional d’Art Contemporain des Pays de la Loire. Dans les premières réalisations de Lassnig, les influences expressionnistes et surréalistes prédominent, suivies par celles de l’Art informel et de la Nouvelle Figuration. Ces mouvements ont nourri la démarche de Lassnig, fondée sur la représentation des sensations internes du corps plutôt que par l’apparence extérieure. Les couleurs y vibrent, et les figures jaillissent d’une compréhension du « micro-monde des millions de neurones », inatteignable par tout dispositif photographique. Considérée comme l’une[...]